Lancement d’une ferme biologique en habitat partagé

Ils développent la ruralité d'aujourd'hui

Lancement d’une ferme biologique en habitat partagé

Emmie, spécialisée dans la production et la commercialisation de sirop bio, s’est associée avec Guillaume, qui s’installe en verger et moutons viande. Pendant 4 ans, ils ont travaillé sur la faisabilité d’un projet de ferme éco-responsable. Avant d’intégrer la formation CS Transformation et Commercialisation des produits fermiers, elle a passé un BP Horticole. Les nombreux stages qu’elle a réalisés lui ont donné peu à peu l’envie de s’installer à son compte.

Le CS Transformation et Commercialisation des produits fermiers​

Le Certificat de Spécialisation Transformation et Commercialisation des produits fermiers est une certification professionnelle française délivrée par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Les titulaires sont en mesure d’analyser et prendre des décisions sur l’organisation, assurer la production et la qualité des produits fermiers, transformer les produits dans le respect de la réglementation et assurer la commercialisation de leurs produits.

La genèse d’un projet

Démarrer une ferme c’est bien. Être en mesure de rentabiliser un projet et de le développer c’est mieux. Avec le CS, Emmie a développé une approche marketing adapté à son projet. Cibler les lieux de ventes, développer un argumentaire commercial ou créer un produit adapté aux marchés locaux, la formation lui a permis de se lancer plus sereinement dans son aventure entrepreneuriale. « Beaucoup de projets alternatifs sont proposés par les étudiants. Le point fort a vraiment été le nombre de stages » déclare l’étudiante, convaincue que la pratique fait partie de l’apprentissage. 

Elle a également été accompagnée par la CIVAM, un centre d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural. L’association accompagne l’émergence des projets agricoles en proposant des formations. Pendant une dizaine de jours répartis sur 3 mois, elle a travaillé sur différents modules, comme sur la gestion des finances et la commercialisation en milieu rural.

Emmie 

L’installation

Au bout de 3 ans de recherche, Emmie et son associé Guillaume ont réussi à acquérir, non sans mal, une ferme de 10 hectares à Breteil près de Montfort Sur Meu. Avec 11 projets postulants dont 4 d’installations et 6 d’agrandissements, c’est le dossier des deux jeunes entrepreneurs qui a finalement été retenu par la Safer. La ferme est en cours de rénovation.

Au programme : s’implanter en tant que ferme bio en habitat partagé avec une partie dédiée à l’agriculture et l’élevage, un accueil social avec une éducatrice spécialisée et 2 amis prêts à vivre à la campagne et à donner un coup de main dans les rénovations.

La mairie de la commune a très bien accueilli le projet et la communication entre voisins s’installe.

Pour Emmie, la véritable aventure entrepreneuriale peut commencer. En parallèle du chantier de rénovation, elle recherche des débouchés pour ces futurs produits : Marchés locaux, épicerie bio, restaurant ou bars. Elle compte aussi sur le marché côtier et Paris, pour vendre ses sirops bio.

« Ce n’est plus l’heure de changer le pansement.
Il faut penser le changement. Collectivement. »

Découvrir le manifeste

[IMSI] Connecter les étudiants aux innovations

IMSI

Connecter les étudiants aux innovations

Les étudiants du Bachelor IMSI (Institut du Management des Secteurs Immobiliers) de The Land, ont l’opportunité, une fois par mois, d’assister à des conférences sur les différentes innovations dans le domaine de l’immobilier. Ces rencontres leurs permettent de découvrir les nouveaux outils du secteur et se préparer à entrer sur le marché du travail.

Les conférences mensuelles ont lieu au sein du campus et sont destinées aux étudiants du Bachelor Immobilier Numérique de l’IMSI. Elles sont organisées par Christophe Voiret, formateur en innovation immobilière. Ces rencontres sont l’occasion de découvrir de nombreuses innovations permettant de faciliter la vie des professionnels du secteur de l’immobilier. Des nouveautés comme RICOH THETA, qui permet d’explorer de nouvelles possibilités en matière de prise de vue ou encore Modelo, une application accompagnant les agences immobilières dans leur digitalisation (signature, état des lieux, registres des mandats…). Les étudiants ont accès par la suite à ces outils pour s’y familiariser dans le cadre d’un projet scolaire, ce qui leur donne un avantage pour leur arrivée dans le monde du travail.

Le Salon Rent, le rendez-vous des professionnels de l’immobilier

C’est dans une optique de découverte du monde professionnel que les élèves ont eu la chance de se rendre au Salon RENT qui s’est tenu les 20 et 21 octobre à Paris. Cet évènement à réuni 9 000 participants, 400 exposants et 104 start-up du milieu de l’immobilier. Un moment d’échange durant lequel les étudiants ont pu partager avec des professionnels du secteur de l’immobilier et assister à des conférences.

L’IMSI, l’école des futurs professionnels

L’IMSI est une école misant sur l’apprentissage par des professionnels. L’école souhaite que ses étudiants sortent opérationnels dans des fonctions à responsabilité dans les métiers de la gestion, de la transaction, du conseil de l’investissement et de la promotion immobilière. Aujourd’hui l’école compte 74 étudiants qui suivent leur cursus sur le Campus de The Land du BTS au Master. Au programme, BTS Professions Immobilières, Bachelor Immobilier Numérique, Bachelor Gestion et Négociation Immobilière et Master of Science Management des Services Immobiliers. Un programme enrichissant et professionnalisant poussant vers la réussite des apprenants !

« Ce n’est plus l’heure de changer le pansement.
Il faut penser le changement. Collectivement. »

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Concours du Meilleur Apprenti de France

évènement

Concours du meilleur apprenti de France à The Land

Mardi 11 mai 2021 s’est tenu le concours du MAF en paysage. Interview de François Gorvan, Formateur technique et responsable du parc The Land à Rennes sur cet évènement accueilli sur notre campus.

C’est quoi le MAF ?

C’est le concours du Meilleur apprenti de France. Nous avons accueilli les sélections départementales. Cette année 4 établissements étaient représentés :

–          MFR St Grégoire

–          MFU St Grégoire

–          Lycée La Lande de la Rencontre à St Aubin

–          Nous St Exupéry Rennes

Qui était présenté ?

Il y avait au total 18 jeunes dont 3 de chez nous :

–          Nathan Gautier apprenti en BPA 1an

–          Loris Fachau-Lucas  term bac pro

–          Victor Machelard term bac pro

Le concours a débuté à 7h ce mardi 11 mai et les résultats ont pu être annoncés à 18h00 le 13 mai. C’est une année exceptionnelle, il n’y a jamais eu autant de jeunes à participer à ce concours en Ille et vilaine. C’est une bonne nouvelle pour la filière.

Comment ça se passe ?

Dans les faits, le concours fonctionne sous forme de médailles elles-mêmes rattachées à des notes sur un total de 20 points :

–          16 et plus = médaille d’or

–          14 et moins de 16 = argent

–          12 et moins de 14 = Bronze

–          Moins de 12 = non médaillé

Il faut obtenir la médaille d’argent minimum pour se qualifier aux sélections régionales.

Cette année, nous avons eu 10 médaillés : 5 en bronze, 5 en argent, 1 en Or.

Une bonne nouvelle pour l’Ille et Vilaine alors ?

Oui, l’Ille et vilaine sera représentée par 6 candidats au niveau régional. Malheureusement, ST Ex ne sera pas de la partie. Nos 3 jeunes ont défendu les couleurs de l’établissement avec fierté puisque tous repartent avec une médaille de bronze. Malheureusement ce ne sera pas suffisant pour accéder au niveau supérieur.

Bilan de cette journée ?

Quel que soit le résultat ça reste une très bonne expérience pour chacun d’entre eux. Tous les jeunes avec qui j’ai pu échanger m’ont confiés avoir passé une très bonne journée.

Merci à tous ceux qui de par leurs actions ont permis que cette journée puisse avoir lieu !!

CQP, un dispositif de formation efficace

Formation

CQP, un dispositif de formation efficace

Véritable outil stratégique d’accompagnement des salariés dans leur adaptation aux nouvelles compétences attendues sur les postes de travail, le CQP (Certificat de Qualification Professionnelle) permet aux salariés en poste mais aussi aux personnes en recherche d’emploi ou aux jeunes qui le souhaitent, de compléter leur formation initiale. Il permet de faire reconnaître les compétences et savoir-faire nécessaires à l’exercice d’un métier. Créé et délivré par une ou plusieurs commissions paritaires nationales de l’emploi (CPNE) de branche professionnelle cela lui confère un gage de sérieux et de solidité dans l’acquisition des compétences.

Un partenariat tripartite

Responsable d’équipe, préparateur.trice, conducteur.trice de machines, conducteur.trice de lignes, le panel des formations dispensées à The Land est assez large et permet d’accéder à un métier ou d’acquérir des compétences complémentaires pour progresser dans sa pratique ou d’évoluer dans son poste. C’est également, pour les entreprises de l’agro-alimentaire un moyen de recruter des profils formés et opérationnels de suite.
C’est le pari du groupe Lactalis, qui depuis 5 ans forme des profils de conducteur.trice de machine et pilote d’installation. Ce partenariat tripartite entre le groupe laitier, une agence de recrutement et The Land, permet d’intégrer rapidement de nouveaux salariés qui n’ont pas cette qualification. « Une reconversion gagnant-gagnant qui bénéficie aux nouveaux salariés et à l’entreprise » nous précise Fabienne Diaz, responsable des CQP chez The Land.

« Bridor fait également appel à nous afin de faire monter en compétences des salariés en interne avec des promotions de 10 personnes par an depuis 3 ans maintenant » argumente fabienne Diaz. Les petits groupes favorisent les échanges et les pratiques managériales. Ils font également évoluer les tuteurs qui accompagnent les salariés sur un aspect méthodologique.

Du sur-mesure par bloc de compétences

Dorénavant les CQP sont accessibles par blocs de compétences, ce qui permet à l’entreprise d’étaler dans le temps les séances de formation et les temps de planification afin de gagner en flexibilité et de permettre de se former tout au long de sa vie professionnelle.
Les plateaux techniques du CETA (Centre d’Expérimentation et de Transformation Alimentaire) situés à Rennes sont mobilisés durant ses formations ou sur les sites industriels des entreprises. Tout parcours CQP démarre par une étude d’opportunité et de faisabilité afin de déterminer si ce format est opportun et répond bien à ce besoin. Avec plus de 200 personnes formées via les CQP, Fabienne Diaz accompagne la montée en puissance de ce dispositif, véritable sur-mesure à destination des entreprises favorisant l’écoute, le partage et l’adaptation aux contraintes et aux métiers.

Une formation sur-mesure adaptée aux besoins de l’entreprise

Interview

Une formation sur-mesure adaptée aux besoins de l’entreprise.

Dans la galaxie des formations et l’offre plurielle publique ou privée, les entreprises ne trouvent pas toujours les enseignements adaptés en regard des compétences recherchées pour couvrir leurs besoins et répondre aux attentes de leurs clients. Afin de s’adapter en mode agile, certaines font le choix de prendre les devants.

Crédit Cerfrance Brocéliande.

L’exemple du Master CSEA

C’est le cas de ce diplôme créé courant d’année 2020 entre The Land et le Cerfrance Brocéliande, entreprise d’expertise comptable et conseils, membre du réseau Cerfrance qui rayonne sur le territoire national.  La première promotion du Master Conseil et Stratégie de l’Entreprise Agricole ouvrira le 6 septembre prochain. Elle s’adresse aux étudiants de niveau BAC+4 qui sont actuellement dans une école d’ingénieur spécialisée agri ou agro ou une école de commerce Classique, ou des collaborateurs en poste ayant une connaissance juridique et qui souhaitent se reconvertir en réorientant/complétant leur parcours professionnel.

Cette formation sur mesure « va amener nos consultants à apporter du conseil stratégique dans les orientations et le développement des entreprises du secteur Agricole » nous confie Kathy Jourdren, DRH pour le Cerfrance Brocéliande. Cette formation permet également de répondre aux attentes spécifiques des clients et développer des compétences qui pourront se déployer sur les départements du Grand Ouest et départements limitrophes.

1 an pour monter en compétences

Avec un rythme d’alternance basée sur la temporalité du métier et ses obligations fiscales, la formation propose un temps de 13 semaines en centre de formation et 34 semaines en entreprise. Avec une formation qui se termine fin juillet 2022, l’employabilité est forte puisque les profils formés répondent aux besoins des entreprises et ont déjà pris leurs marques dans celles-ci. Avec un réseau national de 700 agences, outre la garantie de sérieux et de solidité de la structure, c’est aussi l’opportunité de pouvoir évoluer à terme dans un groupe d’envergure nationale.

Une réponse adaptée au territoire

D’autres formations sur mesure au sein de The Land comme le Bachelor Manager Opérationnel en Distribution en collaboration avec les enseignes Carrefour Market, ou le BACA (Bachelor Assistant Comptable Agricole), proposent des formations qui répondent aux réels besoins des entreprises du territoire avec une employabilité assurée à la sortie. « C’est assez novateur de considérer en priorité l’attente des clients et d’en déduire qu’on doit mener l’adaptation des formations professionnalisantes pour y répondre » conclue Kathy.

Alma, dis-moi ce que je mange !

Application

Alma, dis-moi ce que je mange !

Ancienne ingénieure chez solina, Hélène Féchant a créé depuis fin 2019 une application qui permet de créer le contenu des étiquettes de nos produits alimentaires. Véritable carte d’identité des aliments, les étiquettes doivent respecter, outre les grands classiques : composition, date de péremption, poids,… d’autres normes toujours plus strictes : lieu d’origine et de provenance, numéro de lot et nom du fabriquant, conditions particulières de conservation et d’utilisation, présence d’OGM, etc.

Depuis 2011, une nouvelle directive européenne concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires introduit de nouvelles exigences telles que l’obligation d’informer sur les allergènes les plus courants et depuis 2016 d’informer sur les apports énergétiques. Un véritable casse-tête à produire en amont de la commercialisation.

Application pour petits faiseurs

Autant de normes utiles qui aident le consommateur à y voir plus clair et à faire son choix en étant informé mais qui pénalisent les TPE et PME qui ne sont pas forcément compétentes et outillées dans ce domaine et qui doivent se faire accompagner pour se mettre en accord avec la législation. Un maraicher qui souhaite transformer sa production invendue de tomates en fabriquant des potages ou des concentrés par exemple. « Cela permet aux producteurs d’éviter aussi le gaspillage alimentaire et valorise la production de petits ateliers qui lancent leurs premières transformations », argumente Hélène Féchant.
Outre le respect des normes, le coût imputé à l’étiquetage n’en est que plus grand sur des petites séries. En réponse à cet ensemble de difficultés, l’application permet de créer des étiquettes respectant les normes européennes et de bénéficier d’apports des ingénieurs, diététiciens et mathématiciens.

La facilitatrice des étiquettes

Favorisant les circuits courts, l’application travaille sur l’intelligence règlementaire et marketing de l’étiquetage en mode automatisé pour ses clients cibles TPE et PME. Hébergée au village by CA, Alma Food a bénéficié également pendant un an et demi de l’expertise du CETA (Centre d’Expérimentation et de Transformation Alimentaire) basé sur le campus The Land à Rennes pour la conception et l’amélioration continue de l’application.
A horizon fin 2021, la facilitatrice des étiquettes souhaite aussi accompagner les producteurs sur l’étude de faisabilité d’achat d’une imprimante dédiée.

Opération Nichoirs, c’est reparti !

Opération Nichoirs, c’est reparti !

 

Cet article a été écrit par Eline, Clémence, Naïs, Marius, Irène et Louise, élèves en seconde générale au lycée Antoine de Saint-Exupéry de Rennes.

Merci à eux.

 

Après deux ans d’arrêt qui s’explique par les travaux de construction du nouveau bâtiment et de la pandémie du Covid 19, l’opération Nichoirs sur le site du Lycée Antoine St Exupéry est repartie grâce aux élèves de seconde générale.

Cela a débuté par la récupération le 22 janvier 2021 des nichoirs qui avaient été précédemment installés sur le site. Cette récupération réalisée avec l’aide de l’OCR (Oiseau Club Rennais) a permis de faire un inventaire nécessaire de la remise en état de ces nichoirs. (Réparations – nettoyages)

Trois semaines plus tard, le 19 février 2021 la réinstallation de 20 nichoirs sur l’ensemble du site a été réalisée. Les élèves de la classe de seconde générale se sont donc à nouveau mobilisés.

 

Ils ont ensuite mis en place un suivi de l’occupation pendant les récréations et les temps de pose du midi du 15 mars au 23 avril 2021.

Initiés aux oiseaux des parcs et des jardins, ils ont pu observer pour l’instant quelques approches de mésanges charbonnières près des nichoirs.

 

Malheureusement, le suivi est actuellement interrompu par le troisième confinement, mais dès le retour le 3 mai au lycée, les élèves de seconde générale repartiront sur le terrain. En attendant, ils font des recherches pour mieux connaitre la biologie de ces oiseaux.

Souhaitons leur bon courage.

PORTRAIT : Marie Bourgoin, étudiante en alternance

PORTRAIT

Marie Bourgoin

Étudiante en Bachelor Distri Manager 

Marie

La formation Distri Manager est une formation diplômante Bac+3 d’une durée de 1 an. En partenariat avec un grand groupe de la distribution, la formation Distri Manager permet de devenir Responsable de Centre de profit en Distribution. 

Je l’ai choisie car elle est l’équilibre parfait entre formation théorique et formation Pratique. Mais surtout, tous nos formateurs sont d’anciens responsables de magasins, managers, directeurs, qui nous apprennent le métier à travers leur propre expérience.

Mon entreprise d’accueil est Le Carrefour Market Bourg L’évêque à Rennes. Mon emploi du temps est divisé de la façon suivante : 3 semaines en entreprise puis 3 semaines à l’école. Les répartitions sont faites de façon à ce que je vive les périodes importantes de l’entreprise : fêtes de fin d’année, inventaires généraux… Rien n’est laissé au hasard. 

Et je ne vais pas vous le cacher, c’est une formation très intense, mais tellement enrichissante !

The Land en 3 mots c’est : Modernité, Dynamisme et Esprit start Up.
Des locaux neufs avec de nombreux espaces de travail collectifs ou individuels.

Mes missions

Aujourd’hui sur la formation Distri Manager, mes missions sont diverses :

  • Piloter l’activité
  • Organiser et coordonner le travail.
  • Animer, mener et mobiliser les Hommes.
  • Contrôler la tenue des objectifs

Mais la mission qui me tient le plus à cœur dans le métier de Manager c’est faire grandir, à la fois soi-même et les collaborateurs…

Le job de mes rêves

Ma perspective d’avenir est de gravir les échelons pour ensuite devenir Directrice en Distribution

Ma plus grande fierté

Je suis fière de me donner les moyens de réussir mes études, afin d’avoir une vie professionnelle qui me passionne et qui me correspond.

Mon réseau social préféré

J’adore le dynamisme de LinkedIn c’est LE réseau social en complet cravate. Le but n’est pas de se faire des amis, mais des relations professionnelles, c’est un réseau indispensable !

J’aime aussi beaucoup Instagram, c’est l’album photo du 21ieme siècle, j’y poste tous mes souvenirs !

La personnalité qui m’inspire

Steve Jobs, il m’inspire le plus en matière de carrière. J’aimerai être aussi visionnaire que lui.

Ce que je préfère à The Land

Le leadership qui s’en dégage !

Ce qui fait ma singularité

Ma Curiosité est telle que je m’intéresse à toutes choses de la vie !

Mon mot de la fin : il faut essayer de faire un petit peu plus que ce dont on croit être capable !

Quand le Groupe Beaumanoir vient présenter sa politique RSE aux étudiants de l’ESCD 3A !

Découverte

Quand le Groupe Beaumanoir vient présenter sa politique RSE aux étudiants de l’ESCD 3A !

La RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises)est devenue un domaine à part entière dans le développement des entreprises, où se mêlent réflexion environnementale et bonnes pratiques. Natacha Arnaud-Battandier, intervenante à l’école ESCD 3A sur le campus The Land, responsable RSE au sein du groupe Beaumanoir, fleuron de l’industrie textile bretonne, nous éclaire sur ses missions au sein du groupe.

Enjeux sociaux et environnementaux

Au sein du groupe Beaumanoir la RSE est portée par 2 services : le service RSE et le service sourcing durable qui est en charge de la partie audit et accompagnement des fournisseurs. Il y a là de gros enjeux sur la chaine d’approvisionnement tant sociaux qu’environnementaux. L’accompagnement des marques est effectif également dans le sourcing, c’est-à-dire l’achat de matières plus durables comme le coton recyclé ou bio. « Le rôle transversal de la RSE nous permet d’intervenir en direct sur certains projets ou en tant qu’expert auprès des équipes » indique Natacha.

5 marques pour un plan d’action socle

Le service RSE travaille auprès du groupe et de ses marques (Cache-cache, Bononbo, Bréal, Morgan, Vib’s, La Halle) à définir leur feuille de route RSE via un plan d’action socle qui détermine les axes de travail prioritaires. Les marques peuvent également définir leurs propres objectifs si elles le souhaitent. Le service favorise l’implication de ses quelques 4 400 collaborateurs en les sensibilisant aux bonnes pratiques via la formation des nouveaux entrants, et promeut les éco-gestes.

La suppression des tasses plastiques jetables par exemple a été une des premières actions menées par Natacha qui travaille dans le sens d’une cohérence globale. « Nous travaillons actuellement avec les boutiques sur les aménagements et l’amélioration de la gestion de l’énergie et des déchets dans les magasins » nous précise Natacha, « avec un impact tant écologique qu’économique ».

Natacha est également à la manœuvre sur le rapport DPEF* du groupe. Cette obligation applicable depuis 2017 à destination des entreprises tend à favoriser et accélérer la prise de conscience des entreprises et « à les placer dans une dynamique vertueuse d’engagement environnemental, social et sociétal. »


* Déclaration de Performance Extra-Financière